Je peut enfin me promener seule sur le territoire! Ça fait du bien de sortir, de sentir l'air frai! Mais une bonne balade n'est rien ses un peu d'eau pour ce désaltérer. Je choisi donc le chemin de la Source.
Les arbres défilaient rapidement autour d'elle. Seul, un rayon de soleil traversai les branches couvertes de feuilles. La vitesse lui soulevait sa fourrure et le vent qui s'engouffrais dans le moindre recoin de son pelage, lui fit un frisson.
Elle était arrivé la la splendide Source Pure. Elle lapa un peu pour se désaltérer puis couru dans l'herbe. C'était une merveilleuse sensation! Mais elle s'arrêta net. Deux énormes blaireaux se dressèrent face à elle, lui tournant le dos. Leurs énormes pattes aux griffes géantes martelaient le sol dans un vacarme abominable, même si il ne couvrirait jamais le timbre de leurs horribles grondements. Leur fourrure blanche striée de noir étincelait au soleil. Elle voulu partir loin mais elle fit craquer une branche. Les deux lascars se retournèrent. Elle fuit. Elle n'avait jamais couru aussi vite de tout sa vie! Mais les blaireau n'allaient pas tarder à la rattraper... Heureusement, l'un d'eux se prit une branche. Il n'en restai plus qu'un à semer mais il me rattrapait. Il n'était plus tant de fuir!

Alors que le blaireau poursuivait se course folle contre moi, je laissa échapper un cri de surprise et de terreur quand il me mordit la patte arrière droite. Je couru mais la bête n'était qu'à une longueur de queue de renard de moi. C'est alors que je sentis l'odeur d'un chat. Ou plutôt d'une chatte. Une femelle des Goldens. C'était une guérisseuse, elle avait donc le droit de pénétrer sur les terres des Copper. Je fus soulagée lorsqu'elle miaula:

"-Court vers moi ! Vite !"

La jeune femelle s’élança donc vers la guérisseuse. Celle-ci se leva sur ses pattes arrières, et lança des drôles de fruits rouges vif dans la gueule du blaireau, puis elle sortie griffes et le déchiqueta. Le blaireau semblait malade. la grosse bête rayée de noir s'enfuit à toute jambes. Un fois la bête partie, la guérisseuse se dirigea vers moi. Elle dit:

Mais les cruels Coppers avait habitué la jeune chatonne à détester les autres Clans, et même les guérisseuses. La petite miaula alors en crachant:


Même si la petite était blessée, elle pourrai se battre. En plus, ce qu'avait dit la guérisseuse mettait encore plus de doute dans le cœur de la chatonne. Cette dernière pensa * Je ne te dirai jamais où se trouve le chemin pour aller au camp des Goldens * .